J'ai pris cette photo depuis l'avion en rentrant du Portugal, quelque part au-dessus des Pyrénées. Je trouvais fascinants ces innombrables sommets enneigés. Ce n'est qu'après avoir appuyé sur le déclencheur que je l'ai vu... un coeur, là... comme un signe. La veille nous étions allés dans un endroit (un ancien monastère et ses jardins) que nous aimons beaucoup et que nous associons au souvenir de A. Ce fut un moment spécial, doux et joyeux, partagé avec nos garçons. Ce coeur, je l'ai reçu comme un clin d'oeil, la marque de l'absent qui nous accompagne.
7 commentaires:
Belle et précieuse image !
L'absent s'associe toujours aussi bien dans les moments forts de nos vies que dans les simples faits comme celui d'ouvrir une porte qui apporte une forte bouffee parfois. Des moments a gerer au mieux comme vous avez su le faire pendant ce voyage. Qu'ils sont beaux ces sommets!
On peut voir aussi un visage.
c'est en prenant du recul que l'on aperçoit le coeur mais aussi en "lâchant prise" ... belle photo ! J'adore les montagnes vues d'en haut !
Formidable ! On dirait que ce coeur a aussi un visage.
Tu nous fais de l'Arthus Bertrand !
Elle t'es sûrement très émouvante cette jolie photo.
C'est bien de décoder les signes.
Je suis aussi fascinées par les vues de là-haut. La neige sur Prague, Les éoliennes dans la mer en Suède, sur le chemin de Chypre, les déserts de Namibie. Bientôt sur le blog avant qu'il ne fasse trop chaud ! New-York, le choc !
Je me souviens encore de mon tout premier voyage en avion... sur Londres... les petites maisons alignées au cordeau, dans la lumière blafarde de l'éclairage électrique. ! Il y a , il y a .....
Je ne me lasserais jamais de ces visions.
Bonne fêtes de Pâques chère inconnue.
Ce que l'on voit, c'est ce que l'on a en nous, comme les teste de Rorschach.
http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/consulter/rorschach/10243-test-rorschach.htm
La tache d'encre sur une feuille de papier, que l'on plie en deux. Ensuite, on dit ce que l'on voit.
je suis sûre que vous verrez beaucoup de coeurs.
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