lundi 16 juin 2014

rondeurs

                                                                                                   Curson, 8/6/14

lundi 19 mai 2014

écriture



Il est des écrivains qui tendent au dépouillement, qui écartent les mots inutiles pour aller au plus juste, au plus pur. Les lignes qui suivent m'ont été inspirées par l'un d'eux...

Un mot. Celui qui est au bord des lèvres, au creux du ventre, au fond de l'âme. 

Un mot qui dirait en même temps la présence et l'absence, la douleur et la joie, la plénitude et le vide. Qui les réunirait en ce qui fait l'essence de notre existence. Tel l'éternel dans l'instant.

Un mot qui serait suffisant, presque de trop tant il serait proche de cet état de conscience où la vie apparaît dans ce qu'elle a de plus simple et de plus précieux. Emerveillement et déchirure à la fois.

Etre poète, c'est peut-être être à la recherche de ce mot... Epurer le langage jusqu'à approcher de cette évidence indicible.


jeudi 24 avril 2014

Pâques alsacienne

                                                                              Colmar, 21/4/14

jeudi 13 mars 2014

silhouettes

                                                                         (Malaga, 6/3/14)

jeudi 6 février 2014


"Il y a deux sortes de gens.

Il y a ceux qui vivent, jouent et meurent.
Et il y a ceux qui ne font jamais rien d'autre que se tenir en équilibre sur l'arête de la vie.

Il y a les acteurs.
Et il y a les funambules."

  Maxence Fermine (Neige)